La galerie Kraemer prête régulièrement des œuvres à des musées pour des expositions,
souvent pour des événements liés aux XVIIIe siècle,
mais aussi lorsqu’un objet se prête à illustrer une thématique en particulier.
Du 19 octobre 2024 au 30 mars 2025.
« Rosemania », l’exposition qui retrace l’histoire de la rose dans les arts, à l’Abbaye de Saint-Riquier, a invité la galerie Kraemer pour lui confier de précieux objets du XVIIIème siècle, dont ce vase bibelot « pot-pourri » en porcelaine de la manufacture de Vincennes, d’époque Louis XV, (vers 1750).
Au XVIIIe siècle, la rose est omniprésente dans les peintures, les tapisseries, chez les ornemanistes, les ébénistes, les orfèvres, les porcelainiers.
La reine Marie-Antoinette les appréciait énormément et la rose était représentée dans une grande partie de sa garde robe.
L’exposition « Rosemania » bénéficie aussi de prêts du Musée du Louvre, de la Royal Collection Trust et la National Gallery de Londres, du Musée Thyssen-Bornemisza de Madrid ainsi que de la Galleria Nazionale dell’Umbria de Pérouse.
“Dialogues, Quand l’objet sort du cadre”
Du 5 septembre au 3 novembre 2025
Le chien avait une place privilégiée à la cour de Versailles.
Louis XIV affectionnait les braques, qui l’accompagnaient à la chasse. L’épagneul nain était quant à lui particulièrement apprécié au sein des cours royales, notamment par Madame de Pompadour ou la Dauphine Marie-Josèphe de Saxe.
Une toile de Maurice-Quentin de La Tour représente justement la Dauphine, accompagnée du Duc de Bourgogne, au côté de leur petit chien.
La galerie kraemer a prêté pour l’occasion cette rare niche en bois sculpté, mouluré et peint, d’époque Louis XVI.
29 novembre 2016 au 26 mars 2017
Le château de Versailles a organisé une exposition qui présentait les infinies variétés et ingéniosités des divertissements de la Cour, faisant de Versailles un lieu de fêtes et de spectacles pour toujours plus de grandeur, d’extraordinaire et de fantastique.
Parcourant trois règnes, de Louis XIV à la Révolution, le propos de l’exposition ne prétend pas à l’exhaustivité, mais privilégie le ressenti du courtisan.
L’enjeu était de présenter les infinies variétés et ingéniosités des divertissements qui sont proposés à la Cour, qu’ils lui soient offerts par le roi ou qu’ils soient pratiqués par elle.
La galerie kraemer a prêté pour l’occasion cette marque de jeu personnelle du roi Louis XV, en ivoire gravé pour noter les pertes et les gains du roi et de ses proches amis.
