La galerie Kraemer prête régulièrement des œuvres à des musées pour des expositions,
souvent pour des événements liés aux XVIIIe siècle,
mais aussi lorsqu’un objet se prête à illustrer une thématique en particulier.
du 24 janvier au 21 juillet 2025.
Au musée du Louvre, des œuvres d’art provenant de la Galerie Kraemer dialoguent avec la Haute-Couture.
L’exposition “LOUVRE COUTURE. Objets d’art, objets de mode“ présente une centaine de silhouettes et d’accessoires de grands couturiers faisant écho aux arts décoratifs présents au musée, illustrant ainsi les liens très étroits qui unissent la mode à l’art. Ici, devant ce secrétaire à cylindre d’époque Louis XVI, réalisé pour le roi de Sardaigne et estampillé par Mathieu-Guillaume Cramer (Circa 1775), provenant de la Galerie Kraemer, une robe de la marque LOEWE, créée par Jonathan Anderson, Collection Prêt à Porter Automne/Hiver 2024-2025.
Olivier Gabet, commissaire d’exposition.
Du 19 octobre 2024 au 30 mars 2025.
« Rosemania », l’exposition qui retrace l’histoire de la rose dans les arts, à l’Abbaye de Saint-Riquier, a invité la galerie Kraemer pour lui confier de précieux objets du XVIIIème siècle, dont ce vase bibelot « pot-pourri » en porcelaine de la manufacture de Vincennes, d’époque Louis XV, (vers 1750).
Au XVIIIe siècle, la rose est omniprésente dans les peintures, les tapisseries, chez les ornemanistes, les ébénistes, les orfèvres, les porcelainiers.
La reine Marie-Antoinette les appréciait énormément et la rose était représentée dans une grande partie de sa garde robe.
L’exposition « Rosemania » bénéficie aussi de prêts du Musée du Louvre, de la Royal Collection Trust et la National Gallery de Londres, du Musée Thyssen-Bornemisza de Madrid ainsi que de la Galleria Nazionale dell’Umbria de Pérouse.
“Dialogues, Quand l’objet sort du cadre”
Du 5 septembre au 3 novembre 2025
Le chien avait une place privilégiée à la cour de Versailles.
Louis XIV affectionnait les braques, qui l’accompagnaient à la chasse. L’épagneul nain était quant à lui particulièrement apprécié au sein des cours royales, notamment par Madame de Pompadour ou la Dauphine Marie-Josèphe de Saxe.
Une toile de Maurice-Quentin de La Tour représente justement la Dauphine, accompagnée du Duc de Bourgogne, au côté de leur petit chien.
La Galerie Kraemer a prêté pour l’occasion cette rare niche en bois sculpté, mouluré et peint, d’époque Louis XVI.
29 novembre 2016 au 26 mars 2017
Le château de Versailles a organisé une exposition qui présentait les infinies variétés et ingéniosités des divertissements de la Cour, faisant de Versailles un lieu de fêtes et de spectacles pour toujours plus de grandeur, d’extraordinaire et de fantastique.
Parcourant trois règnes, de Louis XIV à la Révolution, le propos de l’exposition ne prétend pas à l’exhaustivité, mais privilégie le ressenti du courtisan.
L’enjeu était de présenter les infinies variétés et ingéniosités des divertissements qui sont proposés à la Cour, qu’ils lui soient offerts par le roi ou qu’ils soient pratiqués par elle.
La Galerie Kraemer a prêté pour l’occasion cette marque de jeu personnelle du roi Louis XV, en ivoire gravé pour noter les pertes et les gains du roi et de ses proches amis.
En plus d’être un peintre paysagiste talentueux, Hubert Robert était un dessinateur prolifique et doué, un graveur captivant, un décorateur d’intérieur et un concepteur de jardins. Vif, intelligent et très recherché, ce bon vivant bien-aimé et plein d’humour évoluait facilement dans les cercles les plus élevés de la société parisienne,
Cette exposition était organisée en partenariat entre le National Gallery of Art de Washington et le Musée du Louvre.
La Galerie Kraemer a prêté pour l’occasion un tableau du célèbre artiste.
Sœur du roi Louis XVI, Madame Elisabeth fut l’une des figures emblématiques de la cour et du village de Montreuil, où elle était propriétaire d’une demeure.
L’exposition s’est déroulée dans la Domaine de Madame Elisabeth, précisément dans sa demeure et dans l’Orangerie : entre les tenues de la princesse, les parfums d’intérieur et les mobiliers, nous sommes transportés dans l’intimité de Elisabeth de France.
Pour l’occasion, la Galerie Kraemer a prêté cette chaise voyeuse estampillée par Jean-Baptiste SÉNÉ, sculptée par Alexandre RÉGNIER et dorée par CHATARD.
Organisée aux musée des Beaux-Arts Pouchkine de Moscou, l’exposition a été imaginée comme un dialogue entre les plus belles robes créées par Christian Dior et des œuvres d’art contemporaines mais aussi du XVIIIe siècle.
Cette exposition a montré que la haute couture contemporaine occupe une place de plus en plus importante dans les grands musées du monde.
Mais l’idée essentielle est celle du rapport du passé et de l’avenir.
Pour illustrer la richesse et le style du XVIIIe siècle si chères à la créativité du couturier du 30 avenue Montaigne, le musée Pouchkine a exposé du mobilier de la Galerie Kraemer, comme la fameuse chaise Louis XVI en forme de médaillon si emblématique de la maison Dior.
