Dons d’objets et travaux de restauration
Quelques exemples…
Musée Nissim de Camondo
Rénovation au cours des temps
Rénovation des cuisines et des salles de bains
du musée Musée Nissim de Camondo à Paris,
qui témoignent du fonctionnement
d’une grande demeure parisienne des années 1900.
J.Paul Getty Museum
Bourse de jeu du XVIIIe siècle
Une relation privilégiée
entre le J.Paul Getty Museum et la Galerie Kraemer
qui lui a offert cette bourse de jeu du XVIIIe siècle aux armes de la ville de Paris,
en velours brodé avec entre autres des fils d’or.
Le musée du Louvre
Grand miroir-trumeau et bergère
Lors du réaménagement des galeries du musée du Louvre dédiées au mobilier du XVIIIe siècle, il manquait un grand miroir- trumeau d’époque Louis XVI.
C’est avec plaisir que la Galerie a donc offert cette œuvre en bois sculpté peint et doré, destinée à être placée au-dessus de la cheminée, entourée de très beaux meubles et objets, dont une bergère créée en 1788 par J-B. Boulard ayant appartenu à Mme Elisabeth, la sœur de Louis XVI, également offerte au Musée par la famille Kraemer et actuellement présentée au Château de Versailles.
Le musée du Louvre
Vase Louis XVI en porcelaine de Sèvres
Fruit de la collaboration entre le sculpteur Louis Simon Boizot, le peintre Pierre Joseph Rosset l’Ainé et le doreur Jean-Pierre Boulanger, ce vase nommé « Jardin à Dauphins » a été créé en prévision de la naissance en 1781 du premier fils de Louis XVI et de Marie-Antoinette, deuxième enfant du couple royal et héritier du Trône.
Ce grand vase a ensuite été probablement offert en 1784 par Louis XVI au prince Henri de Prusse, frère de Frédéric II, alors roi de Prusse.
Château de Versailles
Set of Chairs – Louis XVI Period
Stamped by J.B. Boulard.
Ces chaises font partie d’une série commandée en 1786 par le Garde-Meuble de la Couronne à Boulard et Séné, les plus grands ébénistes-menuisiers de l’époque Louis XVI.
Elles étaient destinées à meubler les salles à manger de Versailles, de Fontainebleau ou de Saint-Cloud.
Sèvres – Manufacture et Musée nationaux
Encrier en bronze – Époque Louis XVI
Cet encrier appartenait très probablement à la Princesse Kinsky.
La manufacture de Vincennes est fondée en 1740 avec le soutien de Louis XV et de Madame de Pompadour. Elle est transférée à Sèvres en 1756 à proximité du château de Bellevue.
La Galerie Kraemer a offert des œuvres
à de nombreux musées en France et à l’étranger.
Découvrez une sélection de ces objets…
Mécénat pour des expositions
Quelques exemples…
Musée Nissim de Camondo
Exposition « Dessiner et ciseler le bronze, Jean-Louis Prieur (1732 – 1795) »
Du 15 octobre 2015 au 17 janvier 2016
Le sculpteur ciseleur Jean-Louis Prieur (1732 – 1795) est l’un des plus illustres bronziers de la période néoclassique.
L’exposition présentait vingt et un dessins qui lui sont attribués provenant du Département des arts graphiques du musée des Arts décoratifs et de la collection Kraemer.
Cette sélection regroupe des modèles pour le bronze, vers 1770, et d’autres pour la gravure, composés de montants d’ornement et de vases, vers 1783.
Ces feuilles sont représentatives de l’évolution de la carrière de Jean-Louis Prieur qui devient ornemaniste en 1778.
Musée Nissim de Camondo
Exposition des dessins d’orfèvrerie de l’atelier de Robert-Joseph Auguste.
Du 16 novembre 2011 au 1er avril 2012
Né à Mons en 1723, Robert-Joseph Auguste est reçu maître à Paris en 1757 et porte à partir de 1777 le titre d’orfèvre ordinaire du roi.
Logé aux galeries du Louvre en 1784, il cède son commerce à son fils Henry l’année suivante. Rien ne nous étant parvenu de ses fournitures pour la Couronne, son œuvre est mieux connue par les pièces d’orfèvrerie et les services entiers qu’il réalisa pour les cours de Lisbonne, Londres, Copenhague, Saint-Pétersbourg et Stockholm.
Soutenue par la Galerie Kraemer, le musée Nissim de Camondo a exposé des dessins d’orfèvreries mettant en lumière l’extraordinaire talent de l’artiste.
Musée Nissim de Camondo
Le lieutenant Nissim de Camondo,
Correspondance et journal de campagne, 1914 – 1917.
Exposition du 21 septembre 2017 au 11 mars 2018
et publication d’un ouvrage.
Le 5 septembre 1917, le Lieutenant Nissim de Camondo, fils du comte Moïse de Camondo, disparaissait en mission aérienne , alors qu’il effectuait une reconnaissance photographique au-dessus du front entre l’Allemagne et la France.
La famille Kraemer s’est impliquée avec beaucoup d’émotion dans l’ouvrage et l’exposition qui en a suivi, présentant les échanges de courriers entre Nissim et sa famille, notamment son père Moïse. Mais aussi les correspondances reçues par ce dernier après la disparition de son fils.
La Galerie Kraemer prête régulièrement
des œuvres à des musées pour des expositions,
souvent pour des événements liés aux XVIIIe siècle,
mais aussi lorsqu’un objet se prête à illustrer
une thématique en particulier.
Participations à l’acquisition d’oeuvres
Quelques exemples…
Le musée du Louvre
Saint Thomas
Georges de La Tour
1634 – 1638
huile sur toile, 46 × 60 cm
Contribution de la Famille Kraemer à la souscription nationale en faveur de l’achat du tableau de Georges La Tour, qui a ainsi pu entrer dans les collections nationales.
Le tableau a été découvert par Madeleine Pré en 1950 au château de Gallerande dans la Sarthe. Comme le rapporte Jacques Thuillier, la propriétaire «menaçait de lâcher les chiens sur le premier historien qui sonnerait à sa grille. S’il y eut jamais tableau séquestré, ce fut bien celui-là » (Thuillier, dans Le Figaro).
Le saint est identifié par la lance qu’il tient, représentée en raccourci.
C’est la lance de son martyre d’après La Légende dorée de Jacques de Voragine : le saint meurt percé de coups de lance donnés par les prêtres païens du roi des Indes, Gondolforus.
Le musée du Louvre
Tabatière du duc de Choiseul
Donation pour l’acquisition du chef-d’œuvre de l’art de la miniature :
la précieuse et spectaculaire tabatière du duc de Choiseul,
réalisée entre 1770 et 1771.
Château de Versailles
Table de chevet d’époque Louis XVI, estampillée par Jean-Henri Riesener
Donation pour le retour d’une table de chevet en acajou d’époque Louis XVI estampillée Jean-Henri Riesener dans la chambre de la reine Marie-Antoinette dans ses petits appartements au château de Versailles.