Vous êtes ici :

La Galerie Kraemer
vue par…

Karl Lagerfeld

Couturier

« Pour le XVIIIe siècle de grande qualité, la Galerie Kraemer est ma préférée ».

Le Monde, 15 Septembre 2012

 

___________________

 

Patrick Hourcade

Artiste et directeur artistique

« On entrait avec Karl Lagerfeld, dans l’hôtel de la rue Monceau, avec chaque fois une impatience parfaitement dissimulée. Kraemer, un univers, un monde de curiosités, où les trésors côtoient l’inattendu. Comme me disait Karl ‘‘ Chez les Kraemer, il y a toujours quelque chose à voir ’’».

Patrick Hourcade, 2023

 

___________________

 

Peter Marino

Architecte et designer new-yorkais

« J’ai dû vendre deux de mes enfants pour payer cela »

Racontant avec humour le jour où il acheta une commode Louis XVI pour son propre appartement contemporain.

ForbesLife, Forbes octobre 2007

 

Susan Gutfreund

Collectionneur d’art

« Et que vous achetiez une commode ou un bougeoir, ils vous traitent de la même manière ».

House of Treasures W. 1994

 

___________________

 

A.

Un client amateur du beau

« Finalement Monsieur Kraemer, vous ne m’avez jamais rien vendu, c’est toujours moi qui vous ai acheté ».

La Saga des Kraemer.
Point de Vue. 2008.

 

___________________

 

Gillian Wilson

Ancienne conservatrice du Getty Museum

« La famille Kraemer est extrêmement discrète et nous rappelle toujours qu’elle n’est jamais censée parler des chosesqu’on lui achète ».

Gillian Wilson a approvisionné la collection du Getty Museum avec de très belles œuvres d’art en provenance de la Galerie Kraemer.

Mark Hampton

Décorateur

« Ils ne vous mettent pas de pression, ils laissent l’objet vous convaincre ».

 

___________________

 

Sao Schlumberger

Collectionneur d’art

« Quand mon mari et moi étions en train de meubler notre maison, nous avons acheté plusieurs choses chez les Kraemer et les prix nous semblaient terriblement élevés. Mais lorsque j’ai décidé de les vendre, j’ai revendu chaque pièce plus chère que ce que nous l’avions achetée, donc je ne peux pas me plaindre ».

House of Treasures W. 1994

 

___________________

 

Boni de Castellane (par Emmanuel de Waresquiel)

Collectionneur d’art

« Tout avait été transformé dans la maison de George Gould depuis mon dernier voyage en Amérique. Lowengard et Kraemer, antiquaires connus, étaient passés par là et avaient placé chez lui quelques objets précieux, entre autres un mobilier en tapisserie de Casanova que j’avais connu jadis à Valençay ».

Mémoires de Boni de Castellane, Emmanuel de Waresquiel.

Joseph Achkar et Michel Charrière

Architectes d’intérieur

« La grande tradition des Kraemer qui se perpétue depuis le 19e siècle ».

 

___________________

 

Jacques Garcia

Architecte Décorateur

« Il revient à ma mémoire mes souvenirs d’adolescence, jeune étudiant, passionné de 18e siècle venant d’un monde où le luxe extrême n’existait pas.
Accéder à l’inaccessible, c’est ce que les générations de Kraemer, comme d’autres grands marchands parisiens, permettent en montrant de telles merveilles avec tant de gentillesse et de simplicité pour nous aider à croire que tout cela est accessible. Ils m’aident tous à me rappeler cette phrase de Daniel Boulanger : « S’élever, c’est se soulever du peu. Je crois au sonnet, à la cantate, en la Sixtine».

 

___________________

 

Pierre Assouline

Écrivain

« Ici, entre les murs du 43 rue de Monceau, l’hôtel des Kraemer est un écrin qui compte autant que le bijou ; mais lorsque celui-ci s’émancipe et le quitte, on se réjouit car il va vivre sa vie et trouver un autre éclat. Ici, c’est la famille qui reçoit, nul autre qu’un ou une Kraemer. Pour Olivier, Laurent, Mikael, Sandra et Alain : l’accueil, c’est déjà l’esprit maison. Celui qui voudra le définir sans le réduire devra également faire intervenir la rigueur dans la sélection des objets, un certain goût dans la vision d’un monde très français enchâssé entre 1680 et 1790, un penchant pour l’originalité, sans oublier la rareté, leur signature ; car dans la mesure où ils s’approvisionnent peu dans les ventes aux enchères, et le plus souvent auprès des particuliers, quitte à aller les chercher un peu partout en Europe ou aux Etats-Unis, leurs meubles ont peu fréquenté le marché ».

Lire l’intégralé du texte de Pierre Assouline